En juin 2023, un consortium de scientifiques a établi que la concentration mesurée en CO₂ dans l’atmosphère (419 parties par million) était au niveau le plus élevé connu sur terre depuis 14 millions d’années ! Une nouvelle preuve, s’il en faut, de l’impact de l’activité humaine sur l’environnement.
Face à cette situation critique, réduire les émissions de gaz à effet de serre (dont le CO₂ fait partie), devient un objectif majeur dans la lutte pour préserver l’environnement, et cela passe par une mobilisation des organisations et des entreprises.
La notion de bilan carbone® est rapidement devenue incontournable, car elle permet aux organisations de calculer les émissions liées à leurs activités et de prendre des mesures pour les réduire.
Dans cet article, nous tentons de vous apporter davantage de lumière sur la notion de bilan carbone® : définition, scopes, périmètres, étapes et avantages de sa mise en application en entreprise.
Définition et scopes du bilan carbone®
Qu’est-ce que le bilan carbone® ?
En France, atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 implique une division par 6 des émissions de gaz à effet de serre sur son territoire par rapport à 1990
Source : Stratégie nationale bas carbone
On peut retracer les origines de la notion de bilan carbone® dans les années 1990, bien avant que le climat ne devienne une préoccupation universelle.
À l’époque, l’agence de la transition écologique (ADEME actuelle) élabore un outil permettant de mesurer toutes les émissions de gaz à effet de serre (GES) liées à une activité humaine, qu’elles soient directes ou indirectes. Cette approche pose les bases de ce qui deviendra, une décennie plus tard, le Bilan Carbone®, une méthode déposée et aujourd’hui administrée par l’Association pour la transition Bas Carbone (ABC).
Depuis, cette méthode a évolué. Elle s’inscrit désormais pleinement dans le cadre de la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC), pilier de la loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte. Cette stratégie définit deux ambitions nationales pour la trajectoire carbone :
- Atteindre la neutralité carbone d’ici 2050
- Réduire l’empreinte carbone de notre consommation
🙌 Définition
Le bilan carbone®, tel que défini par l’ADEME, est un outil de diagnostic qui permet d’évaluer l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre (GES) générées par les activités d’une entreprise, d’une collectivité ou d’un événement.
Afin de mesurer dans une approche globale les émissions de gaz à effet de serre, le bilan carbone distingue deux types d’émissions :
- Les émissions directes, issues par exemple de la combustion de carburants pour des véhicules de service
- Les émissions indirectes, souvent plus difficiles à cerner, comme celles liées à la fabrication de matières premières, à l’utilisation de l’électricité, aux déplacements des collaborateurs ou à l’usage des produits vendus.
Au cours de la réalisation d’un bilan carbone®, il n’y a pas que les émissions de dioxyde de carbone (CO₂) qui sont prises en compte. Au contraire, la méthodologie du bilan carbone permet d’intégrer un total de 6 gaz différents (en incluant le CO₂) dans le calcul :
- Le CH₄ (méthane) : lié, par exemple, à l’agriculture et à l’élevage ;
- Le N₂O (protoxyde d’azote) : issu de l’usage des engrais azotés ;
- Les HFC (hydrofluorocarbures), PFC (perfluorocarbures) et SF₆ (hexafluorure de soufre) : souvent utilisés comme fluides frigorigènes ou dans certains procédés industriels.
Toutes les émissions sont converties en CO₂e (Equivalent CO₂), ce qui permet de comparer les postes d’émissions entre eux et de visualiser leur poids relatif dans l’empreinte carbone totale.
🙌 Remarque
Il est essentiel de comptabiliser ces 6 gaz dans la mesure d’un bilan carbone®. En effet, un gaz comme le SF₆, bien que moins présents dans l’atmosphère, a un potentiel de réchauffement global 23 500 fois supérieur au CO2.
Le bilan carbone® s’adresse à toutes les organisations soucieuses de réduire leur impact environnemental, y compris les PME, les collectivités territoriales, les établissements publics, les startups ou encore les évènements culturels.
Cela dit, d’un point de vue réglementaire, il existe des obligations :
- Les entreprises de plus de 500 salariés (ou 250 en outre-mer) doivent réaliser un bilan d’émissions de GES (BEGES) tous les 4 ans ;
- Les collectivités de plus de 50 000 habitants, les établissements publics de plus de 250 agents et les services de l’État sont également concernés.
Notre équipe de consultants expérimentés vous accompagnent dans la réalisation de votre bilan Carbone !
A qui confier la réalisation d’un bilan carbone® ?
3 options s’offrent à vous pour réaliser un bilan carbone®
- Former et certifier une personne en interne
- Faire appel à un cabinet de conseil spécialisé
- Utiliser un logiciel ou une plateforme en ligne
1. Former et certifier une personne en interne
Pour les entreprises souhaitant internaliser les compétences et pérenniser la démarche dans le temps, former un ou plusieurs collaborateurs constitue un excellent point de départ. Cela peut être un profil RSE, un responsable QHSE, un chargé de mission développement durable ou même une personne de la direction générale si le sujet est stratégique.
Il existe des formations certifiantes à la méthode Bilan Carbone®, proposées notamment par l’Association pour la transition Bas Carbone (ABC) ou des organismes agréés.
🙌 Remarque
Former un collaborateur en interne offre une grande autonomie mais suppose du temps disponible et une capacité d’analyse multidisciplinaire. Cette option peut être idéale pour les structures engagées sur le long terme.
2. Faire appel à un cabinet de conseil spécialisé (comme Consultis Environnement)
Si vous manquez de temps, de ressources, ou que le sujet est nouveau pour vous, l’accompagnement par un cabinet spécialisé peut être la solution la plus adaptée.
Chez Consultis Environnement, nous accompagnons les entreprises de toutes tailles dans la réalisation complète de leur bilan carbone®, de la définition du périmètre jusqu’à la restitution finale, en passant par les recommandations concrètes d’actions et la communication interne ou externe.
Notre force repose sur :
- Notre équipe formée à la méthode Bilan Carbone® ;
- Une approche sur mesure, adaptée à votre activité, vos enjeux métiers et votre maturité environnementale ;
- Une articulation possible avec vos démarches RSE, QSE ou numérique responsable
- Et une capacité à former vos équipes si vous souhaitez monter en autonomie à l’issue du premier bilan.
Découvrez en vidéo le bilan carbone réalisé sur les data centers de notre client, une ETI spécialisé dans les géosciences.

3. Utiliser un logiciel ou une plateforme en ligne
Le marché du numérique a vu fleurir de nombreuses applications de calcul de bilan carbone ces dernières années. Certaines plateformes SaaS permettent de collecter automatiquement les données (factures, déplacements, achats…) et de les convertir en équivalent CO₂ via des facteurs d’émission intégrés (issus de la Base Carbone de l’ADEME).
Cela peut constituer un bon point d’entrée pour des structures débutantes, ou un gain de temps pour les entreprises déjà engagées.
Le processus Bilan carbone® en 6 étapes
Réaliser un bilan carbone® repose sur une méthodologie rigoureuse. Le processus suit toujours la même logique : comprendre, mesurer, analyser, agir et communiquer.
Voici les 6 étapes fondamentales à suivre pour mener un bilan carbone® structuré, conforme aux standards méthodologiques reconnus (méthode ADEME / ABC, GHG Protocol) :
- Définir le champ d’étude
- Collecter et consolider les données
- Exploiter les données et calculer le bilan carbone®
- Analyser les axes d’amélioration et proposer un plan d’action
- Tester et mettre en œuvre les actions
- Publier son bilan carbone® et communiquer
Bilan carbone® : 2 périmètres et 3 scopes à considérer
Pour bien définir le champ d’étude et parvenir à collecter et consolider les données lors de votre bilan carbone®, il existe 2 périmètres et 3 scopes à prendre en compte.
Les 2 périmètres du bilan carbone®
Avant même d’additionner les kilos de CO₂ émis par vos activités, il est indispensable de définir les contours du terrain sur lequel vous jouez. Pour vous y permettre, il existe deux périmètres :
- Le périmètre organisationnel
- Le périmètre opérationnel.
1. Le périmètre organisationnel : qui est concerné par le bilan carbone® ?
Le périmètre organisationnel correspond à l’ensemble des entités juridiques ou établissements que vous intégrez dans votre diagnostic carbone.
Trois approches sont possibles, selon les recommandations de l’ADEME et de l’ABC :
- Approche de contrôle opérationnel : vous intégrez toutes les entités que vous contrôlez d’un point de vue fonctionnel, même si vous n’en détenez pas la majorité du capital
- Approche de contrôle financier : vous prenez en compte uniquement les sociétés que vous contrôlez juridiquement ;
- Approche par participation proportionnelle : vous intégrez les entités à hauteur de votre part dans leur capital.
🙌 Remarque
Pour éviter les biais, l’ADEME recommande de privilégier l’approche par le contrôle opérationnel, plus représentative de votre véritable pouvoir d’action sur les émissions.
2. Le périmètre opérationnel : quelles activités sont prises en compte dans le bilan carbone® ?
Une fois l’organisation cible définie, il faut préciser les activités couvertes par le bilan. C’est ce que l’on appelle le périmètre opérationnel. Il s’agit ici de recenser tous les flux d’émissions de gaz à effet de serre générés par l’organisation dans le cadre de ses opérations.
Ces flux sont classés selon les scopes 1, 2 et 3, que nous détaillerons dans la partie suivante. Le périmètre opérationnel détermine les postes d’émissions à inclure, comme :
- Les consommations énergétiques
- Les déplacements professionnels et domicile-travail
- Les achats de biens et services
- Les usages numériques
En moyenne, plus de 70 % des émissions d’une entreprise proviennent de son scope 3, c’est-à-dire des activités indirectes. D’où l’importance d’un périmètre opérationnel large et bien défini.
Source : SBTi
Un périmètre trop restreint peut donner une image faussée, voire contre-productive. À l’inverse, un périmètre trop ambitieux, mal maîtrisé, risque de produire des résultats incohérents.
🙌 A noter
Le périmètre organisationnel et le périmètre opérationnel doivent être cohérents entre eux. Par exemple, si vous réalisez un bilan sur une entité française spécifique, il est logique d’exclure les données liées aux filiales étrangères dans le périmètre opérationnel. Et inversement.
Les 3 scopes du Bilan carbone®
Les trois scopes – Scope 1, Scope 2 et Scope 3 – permettent de classer l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre (GES) selon leur proximité avec l’activité de l’organisation. Leur bonne compréhension est essentielle pour établir un diagnostic complet, fiable.
Scope 1 : Les émissions directes
Le Scope 1 regroupe toutes les émissions de GES directement générées par l’organisation, sur lesquelles vous avez un contrôle immédiat.
Cela peut inclure :
- Les combustibles fossiles brûlés sur site (chaudières, groupes électrogènes, etc.)
- Les carburants consommés par votre flotte de véhicules ;
- Les émissions de procédés industriels (ex. gaz de fermentation, chimie) ;
- Les fuites de fluides frigorigènes (climatisation, réfrigération).
🙌 Exemple
une entreprise logistique possède une flotte de camions roulant au diesel. Les émissions issues de la combustion de ce carburant sont à comptabiliser dans le Scope 1.
Scope 2 : Les émissions indirectes liées à l’énergie
Le Scope 2 représente les émissions indirectes liées à la consommation d’énergie achetée à un fournisseur. Vous ne les émettez donc pas directement, mais même si ces émissions ont lieu ailleurs, elles sont indissociables de votre activité !
Les émissions du scope 2 peuvent inclure :
- L’électricité utilisée dans vos bureaux, usines ou entrepôts ;
- La chaleur, vapeur ou froid achetés à un réseau urbain ou industriel.
Même si ces émissions ont lieu ailleurs, elles sont indissociables de votre activité.
En France, l’électricité a un facteur d’émission relativement faible (environ 0,056 kg CO₂e/kWh) grâce au mix bas carbone (nucléaire, hydraulique). Dans d’autres pays, ce chiffre peut grimper à 0,9 ou 1 kg/kWh.
Source : RTE et GIEC
Scope 3 : Les autres émissions indirectes
Le Scope 3 est le plus complexe et le plus dense. Il englobe toutes les autres émissions indirectes en amont et en aval de votre chaîne de valeur.
Cela inclut par exemple :
- Les achats de biens et services
- Le transport des marchandises (amont/aval)
- Les déplacements domicile-travail
- Les déplacements professionnels
- L’usage des produits ou services vendus
- Le traitement des déchets
- Les investissements, les services numériques, etc.
🙌 Exemple
une entreprise du secteur textile devra intégrer dans son Scope 3 les émissions liées à la production du coton, à l’assemblage des vêtements à l’étranger, au transport maritime, à la livraison finale, et même à l’entretien des vêtements par le client.
Et le Scope 4 alors ?
Un Scope 4 a bien été évoqué dans certaines publications du GHG Protocol. Il visait à comptabiliser les émissions évitées, par exemple, lorsqu’un service permet de réduire les émissions d’un client.
Mais cette notion reste floue, difficile à normaliser, et n’est pas retenue par la méthode Bilan Carbone® officielle ni par les normes ISO.
Chaque Scope est subdivisé en poste d’émission
Pour affiner l’analyse, chaque scope est découpé en postes. Par exemple, dans le Scope 3, on distingue souvent :
- Achats de biens
- Services
- Déplacements
- Immobilisations
- Fin de vie des produits, etc.
Cela permet de pondérer les émissions, d’identifier les “poids lourds” de votre empreinte, et d’orienter le plan
d’action avec finesse.
Envie de réaliser votre bilan carbone ? Notre équipe de consultants peut vous accompagner dans votre démarche
Comment calculer le bilan carbone® de son entreprise ?
Vous avez collecté vos données, défini vos périmètres et trié vos scopes, il est désormais temps de passer au calcul concret des émissions de gaz à effet de serre. Cela passe par :
- Le calcul des ratios physiques
- Le calcul des ratios monétaires
Calcul des ratios physiques dans le bilan carbone®
Le calcul physique consiste à mesurer une donnée d’activité réelle (par exemple la quantité de carburant consommée ou le nombre de kilomètres parcourus) et à la multiplier par un facteur d’émission. Ce facteur est un coefficient officiel, généralement exprimé en kg ou tonnes équivalent CO₂ par unité d’activité.
La formule est la suivante :
Quantité de GES = Donnée physique x Facteur d’émission physique
🙌 Remarque
Cette méthode est considérée comme la plus précise par l’ADEME, car elle repose sur des volumes réels et non sur des estimations monétaires.
Voici 2 exemples de ratios physiques utilisés dans les bilans carbone® :
- Carburant : si votre flotte a consommé 1 000 litres de gazole, et que le facteur d’émission est de 2,68 kg CO₂e/litre, vous émettez 2,68 tonnes de CO₂e pour ce poste.
- Déplacements en train : 10 000 km en TGV à un facteur de 0,003 kg CO₂e/km = 30 kg de CO₂e seulement.
🙌 Bon à savoir
La Base Carbone® de l’ADEME est la source officielle française. Elle recense des centaines de facteurs d’émission, actualisés régulièrement, pour des secteurs très variés : énergie, transport, agriculture, numérique, industrie, services, etc. Elle est accessible ici : https://www.basecarbone.fr/
Calcul des ratios monétaires dans le bilan carbone®
Lorsqu’on ne dispose pas de données physiques précises, ou lorsque la traçabilité est difficile (par exemple pour des achats de services ou des frais généraux), il existe une autre méthode pour estimer les émissions de gaz à effet de serre : le calcul via les ratios monétaires.
Ce calcul suit le principe suivant : convertir les euros dépensés en équivalent CO₂, et propose une formule de calcul simple :
Quantité de GES = Montant dépensé (€) x Facteur d’émission monétaire (kg CO₂e/€)
Chaque bien ou service a un coût carbone moyen par euro dépensé. Ce coût est estimé à partir d’analyses sectorielles, de données économiques et d’analyses de cycle de vie agrégées.
Par exemple :
- 1 € dépensé dans l’habillement = environ 0,52 kg CO₂e
- 1 € dépensé dans le numérique = environ 0,20 kg CO₂e
- 1 € pour un service de consulting = environ 0,05 kg CO₂e.
Ces ratios sont fournis par des bases de données comme la Base Carbone® de l’ADEME, ou par certains logiciels de comptabilité carbone qui les intègrent automatiquement.
⚠️ Attention
Utilisez les ratios monétaires en complément, jamais en remplacement des données physiques, surtout pour les postes majeurs. La précision de votre bilan carbone en dépend.
Exemples de recommandation à appliquer suite au calcul du Bilan Carbone®
Une fois votre bilan carbone® réalisé, vient le moment décisif : que faire des résultats ? Le diagnostic, aussi rigoureux soit-il, ne suffit pas. C’est l’analyse des leviers d’action et leur mise en œuvre progressive qui font toute la valeur de la démarche.
Voici quelques exemples de recommandations concrètes que vous pourrez adapter à votre propre contexte :
- Réduire la consommation d’énergie
- Mettre en place une campagne d’éco-gestes en entreprise
- Favoriser les déplacements bas carbone
- Mettre en place une charte achats responsable
- Miser sur le numérique responsable et l’écoconception
Les avantages du Bilan carbone® en entreprise
Le bilan carbone® peut être vu comme un levier d’optimisation économique. En effet, adopter une stratégie bas carbone implique souvent de réduire les gaspillages, optimiser les usages et repenser certains flux. Toutes ces actions peuvent faire du bien à votre trésorerie.
Plus de sobriété, souvent synonyme d’une réduction des dépenses !
Réduire ses émissions de gaz à effet de serre passe nécessairement par moins de consommation : d’énergie, de ressources, de déplacements, d’équipements. Autrement dit, plus de sobriété dans les usages. Cela peut alors générer une baisse de coûts pour votre organisation :
- Réduction de la facture énergétique
- Réduction des frais de déplacements, de carburant, ou encore de péages
- Optimisation des stocks
- Réduction du coût des abonnements logiciels dans une perspective de green it
❓ Le saviez vous ?
Une étude de l’ADEME a montré que les PME ayant engagé une démarche carbone sérieuse économisent en moyenne 10 à 15 % sur leur budget énergie et achats dès la première année.
Amélioration de l’image de marque et de la marque employeur
Dans un monde où les engagements environnementaux sont scrutés à la loupe, agir pour le climat est devenu un marqueur de crédibilité. Et c’est particulièrement vrai pour les entreprises. Réaliser un bilan carbone® et le rendre visible, c’est envoyer un signal fort à vos parties prenantes : vous prenez vos responsabilités et vous les mesurez.
Cela renforce à la fois l’image externe de votre marque et l’adhésion interne de vos collaborateurs.
En 2021, 68 % des consommateurs français déclaraient privilégier une entreprise ayant communiqué sur ses actions concrètes pour le climat.
Source : Etude Harris Interactive
Avantage concurrentiel
Dans un marché de plus en plus exigeant, où les attentes sociétales évoluent aussi vite que les réglementations, le bilan carbone® devient un levier de différenciation.
Cela permet de gagner des points face à ses concurrents, notamment dans les appels d’offres ou les négociations commerciales.
Prendre de l’avance sur la législation et anticiper la loi
Le cadre réglementaire autour du climat se resserre, en France comme en Europe. Entre obligations déjà en vigueur et textes en préparation, la pression légale sur les entreprises s’intensifie.
Dans ce contexte, le bilan carbone® permet de répondre à certains indicateurs réglementaires de la CSRD et de la taxonomie verte, mais aussi à certains aspects de la VSME (qui elle n’a pas de base réglementaire).